Les textes fondateurs dans la continuité pédagogique

Les textes fondateurs dans la continuité pédagogique

En classe de Français en 6°8 Mme Bouchoucha a demandé de faire une suite au texte la Tour de Babel... merci Sam pour ta jolie production :

Tous les hommes étaient confus, ils n’arrivaient plus à se comprendre. Ils étaient dispersés sur la Terre. Chaque peuple occupait un espace sur la Terre, parlait un langage et avait développé des traditions et des coutumes. Il leur fallait de nouveaux moyens de communication pour réussir à échanger entre eux.

Ils commencèrent à échanger par des signes de mains mais les limites de cette communication furent vite atteintes. Seul le langage simple pouvait y être utilisé. Quand il fallut échanger réellement, ils n’y arrivaient pas avec les signes. Ils ne pouvaient pas avoir une réelle conversation.

Ils décidèrent d’échanger des hommes entre les peuples afin que ceux-ci transmettent leur langage. Ils seraient nommés les traducteurs. Les premières tentatives furent avec les symboles. Certains peuples gardèrent ce moyen de communication mais pour la plupart d’entre eux, les symboles n’étaient clairement pas la bonne méthode pour se comprendre.

D’autres encore essayèrent de peindre des dessins représentant des actions et des évènements mais cela ne suffisait pas. Ce langage n’était pas assez riche de sens. Cependant, des Hommesse trouvèrent une passion pour le dessin qui devint un art. Mais les Hommes n’arrivaient toujours pas à bien communiquer jusqu’à que les traducteurs envoyés pour étudier dans les autres peuples revinrent. Ils se mirent à transmettre leurs connaissances venues d’ailleurs à leurs concitoyens. 

Les peuples firent construire des endroits où les habitants du peuple pourraient venir étudier et apprendre, on appela ça des écoles. Les enfants y apprirent à mieux parler leur langue mais aussi à découvrir le monde, les autres cultures et les autres langues grâce à des enseignants. Les hommes se mirent ensuite à voyager pour parfaire leur connaissance sur les uns et sur les autres, pour découvrir de nouveaux lieux, de nouveaux mots. Certains d’entre eux s’installèrent dans ces nouveaux lieux amenant avec eux leur langage et leur culture…

A force d’années et de volonté, les peuples commencèrent à se comprendre de mieux en mieux.

Sam Beziel - 6°8

 

 

Tous les hommes étaient confus, ils n’arrivaient plus à se comprendre. Ils étaient dispersés sur la Terre. Chaque peuple occupait un espace sur la Terre, parlait un langage et avait développé des traditions et des coutumes. Il leur fallait de nouveaux moyens de communication pour réussir à échanger entre eux.

Ils commencèrent à échanger par des signes de mains mais les limites de cette communication furent vite atteintes. Seul le langage simple pouvait y être utilisé. Quand il fallut échanger réellement, ils n’y arrivaient pas avec les signes. Ils ne pouvaient pas avoir une réelle conversation.

Ils décidèrent d’échanger des hommes entre les peuples afin que ceux-ci transmettent leur langage. Ils seraient nommés les traducteurs. Les premières tentatives furent avec les symboles. Certains peuples gardèrent ce moyen de communication mais pour la plupart d’entre eux, les symboles n’étaient clairement pas la bonne méthode pour se comprendre.

D’autres encore essayèrent de peindre des dessins représentant des actions et des évènements mais cela ne suffisait pas. Ce langage n’était pas assez riche de sens. Cependant, des Hommesse trouvèrent une passion pour le dessin qui devint un art. Mais les Hommes n’arrivaient toujours pas à bien communiquer jusqu’à que les traducteurs envoyés pour étudier dans les autres peuples revinrent. Ils se mirent à transmettre leurs connaissances venues d’ailleurs à leurs concitoyens.

Les peuples firent construire des endroits où les habitants du peuple pourraient venir étudier et apprendre, on appela ça des écoles. Les enfants y apprirent à mieux parler leur langue mais aussi à découvrir le monde, les autres cultures et les autres langues grâce à des enseignants. Les hommes se mirent ensuite à voyager pour parfaire leur connaissance sur les uns et sur les autres, pour découvrir de nouveaux lieux, de nouveaux mots. Certains d’entre eux s’installèrent dans ces nouveaux lieux amenant avec eux leur langage et leur culture…

A force d’années et de volonté, les peuples commencèrent à se comprendre de mieux en mieux.

Sam Beziel

6°8

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