Léon LAVIALLE (prépa BL)
Pourquoi avez-vous fait le choix d’une BL ?
Car c’est une filière diversifiée. Je voulais en effet une solide culture générale, utile pour toute ma vie et ne pas me fermer de portes. J’ai hésité à me diriger vers une formation de cinéma mais j’aurais abandonné trop de sujets et je me serais spécialisé trop tôt. Faire une prépa me permet d’affiner la réflexion sur mon projet avant de m’engager définitivement.
Et pourquoi Stan ?
Je cherchais une formation dynamique et ambitieuse, tout en ayant un côté humain et beaucoup de proximité entre étudiants et enseignants.
Comment avez-vous vécu la rentrée et la transition entre élève de lycée et étudiant de prépa ?
Bizarrement comme au lycée sur certains aspects : il y a les mêmes disciplines et on évolue dans un lycée. Mais par contre, l’ambiance et le rythme de travail sont complétement différents. Je n’ai pas eu de mal à m’y adapter : le rythme de travail « vient tout seul » !
Comment vivez-vous la prépa à Stan ?
Il y a un très bon cadre de travail, beaucoup de bienveillance et une très bonne ambiance dans la classe, au forum, sur le terrain de sport… Ce qui me permet de bien vivre la prépa, c’est le contenu et l’intérêt des cours : ils sont tous passionnants et on apprend énormément. J’apprécie aussi beaucoup l’esprit de solidarité et d’entraide entre étudiants, on travaille naturellement ensemble.
Que projetez-vous de faire à l’issue de la prépa ?
C’est difficile de me projeter. Je souhaite présenter les concours de l’ENS et sinon ce qui m’intéresserait aussi c’est d’intégrer une école de cinéma (comme par exemple la FEMIS).
Quels conseils donneriez-vous à un étudiant intégrant la BL l’année prochaine ?
D’être certain d’être prêt à faire une prépa et d’absorber le rythme de travail, d’y aller « à fond » dès le début, de lire beaucoup et de se cultiver sur tout ce qui vous intéresse tout en ne négligeant aucune matière.
Un dernier message ou commentaire ?
La prépa c’est dure mais le cadre de Stan permet de bien la vivre. Il faut savoir se détacher des « petits malheurs » du quotidien (comme les notes par exemple !) et voir plus loin et à grande échelle. Il faut aussi avoir des objectifs à court terme pour se motiver et se voir progresser. Et surtout en profiter, le temps en prépa passe très vite !!!
